"Le disque est grand!", Libération, à propos de "Tarbes".
Découvrir la musique de la Féline, c'est découvrir celle qui l'incarne : Agnès Gayraud, de nuit, féline gracile, de jour théoricienne raffinée.
Depuis ses débuts sur la scène pop indépendante, Agnès Gayraud s'est tracé un chemin bien à elle, entre deux mondes, celui de la musique, celui des textes (ceux des chansons, mais aussi ceux de la critique musicale qu'elle écrit pour Libération, ou encore ceux de son essai Dialectique de la pop publié fin 2018 aux Editions La Découverte...). Ici et là, dans une interaction de plus en plus fluide, on salue son écriture, sa personnalité, son jeu de guitare, sa présence, son chant. Tout cela ensemble produit une réelle ouverture musicale, empruntant à la chanson, au folk, au sons électroniques, mais aussi à une forme de rock psychédélique, dans un genre de pop progressive où les mélodies et les ambiances s’allient en un style singulier. Sa voix, tour à tour suave, aérienne et grave à la fois, marque sa musique d'une émotion particulière.
Après la trilogie existentielle formée par les trois premiers albums de l'artiste "Adieu l'enfance" (2015), "Triomphe" (2017) et "Vie Future" (2019), La Féline reprend l'aventure à la source, avec un nouvel album du nom de sa ville natale, "Tarbes". "La ville est moyenne, mais le disque est grand" écrit Christophe Conte dans Libération. Un disque TTT Télérama.
« La Féline fait partie des artistes femmes qui échappent à toutes les cases. Avec ses inspirations multiples, elle avance, pas à pas, sur une contre-allée. »
France Inter - Rebecca Manzoni dans Pop & Co
« La voix d'Agnès Gayraud nous emmène sur des territoires très peu balisés – ou alors par des amazones, Claire Diterzi, Camille, PJ Harvey » (ELLE).
« Agnès Gayraud a rejoint la famille des ensorceleuses qui jouent des tours étourdissants à la pop hexagonale.» (Les Inrocks)